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Didier Potin psychanalyste expérimenté en analyse des pratiques professionnelles

Bagnols-sur-Cèze, France
30200, Bagnols-sur-Cèze, France
Titres - Fonctions
Formateurs d'intervenants en Analyse des Pratiques, Intervenant en Analyse Clinique, Psychanalyste
consultant et formateur - ancien directeur-adjoint d'ITEP (Institut thérapeutique, éducatif et pédagogique)
Mode(s) d'intervention
En établissement , Dans nos locaux de formation , En télétravail , Par Téléphone et/ou Téléconférence , En visioconférence , En cabinet
Autour des villes de:  
Clermont-Ferrand - Marseille - Montpellier - Avignon - Nîmes
  Présentation

Psychanalyste expérimenté : supervision et élucidation des pratiques cliniques en secteurs psychiatrique, médico-social, social, judiciaire et socio-culturel (méthode Balint)

J’interviens dans les régions Occitanie, Auvergne-Rhône-Alpes et Provences-Alpes-Côte d’Azur et Corse mais, en fonction de demandes spécifiques ou groupées, je peux me déplacer en Ile de France, Belgique, Suisse francophone (formation à l’analyse des pratiques, analyse institutionnelles, audits d’établissements et Services).

Intervention

Présentation de l’analyse des pratiques professionnelles

(méthode Balint)

L’analyse des pratiques professionnelles (dite APP) est devenue un exercice indispensable à la vie même d’une institution, d’un service ou d’une entreprise, qu’elle participe des secteurs sociaux, médico-sociaux, médicaux, judiciaires, d’animation socio-culturelle, voire administrative, industrielle ou commerciale, ceci pour plusieurs raisons :

  • parce que chacun des professionnels ou des salariés d’une institution, d’une entreprise ou d’un service est confronté, chaque jour et à chaque heure, pendant son temps de travail, à des comportements quelquefois énigmatiques, des injonctions, (conscientes ou inconscientes) contraignantes, quelquefois dangereuses ou même violentes dans leur expression, qu’elles émanent des personnes dont ces professionnels ont la responsabilité (handicapées ou vieillissantes, présentant des troubles du comportement ou de la personnalité, etc.), de leur hiérarchie, de leur conseil d’administration, ou de la nature même des tâches qui leur incombent (milieux de travail où les dimensions de stress, de sécurité, d’intégrité physique ou psychique peuvent être mis à mal),
  • parce que les troubles manifestés, la nature des tâches à accomplir viennent les interroger, en tant qu’ils en sont les « obligés » (salariés ou prestataires de service qui, en échange d’un service ou d’une tâche, touchent un salaire ou une somme d’argent -voire l’expression : « être l’obligé de … ») non seulement dans les compétences qu’ils ont acquis, dans leur formation, dans leur compétence et dans leur expérience professionnelle, quelles qu’en soient la nature et la durée, mais tout autant dans ce qu’ils sont, en tant qu’hommes et femmes, au plus profond d’eux-mêmes,
  • parce que, par expérience, nous savons que si cette dimension du travail ( se réunir régulièrement pour réfléchir et parler avec l’aide d’un tiers extérieur à la structure) n’est pas ou peu prise en compte, dans ce lieu et ce temps spécifiques, dans une instance, nécessairement intégrée au temps de travail, où le secret professionnel doit être garanti à chacun et exigé de chacun (à titre d’exemple il n’y a jamais de prises de notes, d’enregistrement ou de compte-rendu des séances, ni de la part de l’intervenant ni des participants), des phénomènes d’incompréhension, de blocage, d’inefficacité, d’usure se manifestent tôt ou tard,
  • en cela, l’analyse des pratiques professionnelles contribue souvent, dans ses effets, à l’apaisement et, par conséquent, à l’amélioration d’un climat institutionnel ou entrepreneurial forcément soumis à des tensions (parce qu’une véritable confiance s’ établit dans ce lieu et ce moment précis, en ce qu’il est, par nature différent des autres, et parce qu’il n’est jamais assimilé aux temps ordinaires de l’institution ou de l’entreprise.) Ce n’est, évidemment, ni une réunion de fonctionnement, ni une réunion de synthèse, ni une réunion syndicale ou de délégués du personnel, ni une réunion informelle près de la machine à café.

Cette analyse des pratiques professionnelle nécessite, pour être, à la fois, pertinente et efficace, plusieurs conditions :

  • d’être conduite par une, voire deux personnes extérieures à l’institution ou à l’entreprise, en référence aux fondements mêmes de la psychanalyse qui privilégie la notion de Sujet, respectant de manière intransigeante et rigoureuse la valeur et l’égalité de la parole de chacun en la considérant de même teneur, qu’elle émane d’une technicienne de surface ou d’un médecin-psychiatre (par exemple), dans le lieu et le temps mêmes où elle s’exerce,
  • ici, plus précisément, elle s’inspire de l’expérience incontestable et reconnue du Professeur Michael Balint, médecin-psychiatre, psychanalyste et auteur anglais (« Le médecin, le malade et sa maladie » Ed. Petite bibliothèque Payot), qui a, pendant plus de cinquante ans, mené un travail d’investigation, de recherche et de formation à partir du constat de difficultés que rencontraient notamment les médecins généralistes avec leurs patients à propos desquels ils avaient beaucoup de mal à percevoir la dimension psychique de leurs maux ; elle s’inspire tout autant du mouvement dit de la « psychothérapie institutionnelle » dont, en Europe et notamment en France, les Professeurs Tosquelles, Oury, Torrubia et le Docteur Gentis ont été parmi les plus dignes représentants,
  • sa spécificité consiste, nous y insistons, en ce qu’elle est centrée, non sur « l’analyse de cas » qui concerne le patient, ni sur une analyse institutionnelle ou entrepreneuriale, qui, elle, a pour but d’aménager , de réaménager ou de critiquer la nature ou le projet de l’infrastructure ou de l’entreprise, ni sur l’objet ou les caractéristiques d’une production, d’une productivité, mais bien sur la personne du professionnel confronté, dans le cadre de son travail, à des tâches qui l’engagent dans des relations souvent difficiles voire incompréhensibles, non seulement dans ses compétences propres mais tout autant dans sa personne même ; il va de soi, tout autant, qu’il ne s’agit, en aucun cas, d’une psychothérapie individuelle, ou de groupe ; pour ce faire l’objet même de ces séances fait l’objet de consignes précisées dès l’entrée et aussi souvent que nécessaire,
  • pour demeurer pertinente et efficace, il est indispensable qu’elle soit conduite régulièrement, à une fréquence déterminée (une fois par mois, voire par quinzaine), sur un temps précis (qui peut aller d’une heure à deux heures, jamais plus) et dans une durée significative (une année civile, par exemple, reconductible, si les contractants le souhaitent et l’engagement financier qu’elle nécessite, le permet)
  • elle fait toujours l’objet d’une Convention annuelle qui précise les engagements et modalités contractuelles du commanditaire et du ou des intervenants, droits et devoirs respectifs, nombre et qualité des participants (feuille de présence), présence ou absence de cadres hiérarchiques directs (c’est un des paramètres les plus sensibles et les plus déterminants de l’exercice qui conditionne souvent sa réussite ou son échec à plus ou moins long terme), lieux des séances (généralement dans l’institution, le service ou l’entreprise), dates, durée et heures des séances, etc.

Cette présentation succincte de l’analyse des pratiques professionnelles a été rédigée par mes soins, à l’attention de toutes personnes susceptibles d’y être intéressée à divers titres : Présidents ou Directeurs d’Association Loi 1901, cadres d’entreprises, Mairies et Services municipaux, partenaires ou collaborateurs potentiels, futurs bénéficiaires. Elle ne prétend, bien sûr ni à l’exhaustivité, ni à l’universalité de ses objectifs ou de ses méthodes.

Approche(s), Méthodologie...

L’invention de la psychanalyse, toujours recommencée

 

Quel est le statut de la psychanalyse si celle-ci n’est pas une science, une thérapeutique ou une vision du monde ?

Il revint à Lacan de l’avoir définie comme une expérience de parole inscrite dans la subjectivité de son époque, son legs considérable nous incitant à répondre continûment aux demandes d’analyses, toujours plus nombreuses, qui nous sont adressées. N’en déplaise aux esprits nostalgiques ou chagrins, la vitalité de la psychanalyse se rapporte au questionnement sans répit de ses fondements éthiques, son horizon étant celui de la formation de psychanalystes qui soient « à la hauteur de cette fonction qui s’appelle le sujet » (1).

Une différence essentielle entre la psychanalyse et les psychothérapies se situe en ce point, ce qui n’implique pas que toute cure analytique aboutisse à ladite formation. Expérience singulière de parole, la psychanalyse est aussi une aventure collective qui se décline en colloques, congrès et conversations cliniques. Réunir des milliers de personnes à Paris ou ailleurs nécessite une préparation à la fois rigoureuse et des talents multiples. Certes, le nombre n’est jamais un argument en soi. Il est la preuve que l’intérêt ne faiblit pas parmi les praticiens de la psychanalyse et l’opinion éclairée, laquelle se presse depuis quelques années pour s’inscrire aux grandes rencontres thématiques que nous lui proposons.

Et ce, malgré des efforts réitérés d’annonces dans les médias ou les réseaux sociaux alléguant que le divorce est désormais consommé entre les citoyens et la psychanalyse d’orientation lacanienne. Il semble que le public soit indifférent à ces funestes admonestations. Certaines de nos journées d’étude se tiennent aujourd’hui à guichet fermé. Quand les inscriptions sont closes des semaines à l’avance, la question se pose, de temps à autres, de louer des lieux plus vastes.

Un sage principe de modération et la notion selon laquelle le manque est le soutien du désir nous prévient, jusqu’ici, d’aller plus loin en cette direction. La réussite de ces événements ne relève pas de distorsions cognitives ou de croyances erronées ; de sobres rapports d’activités et d’austères bilans comptables en attestent.

Un moyen de dénier à la psychanalyse sa place parmi les discours consiste à la définir comme une méthode psychothérapeutique parmi d’autres. Le narcissisme de ses petites différences ne devrait pas lui donner le sentiment d’une quelconque supériorité sur des techniques mieux adaptées aux normes actuelles de rendement et d’utilité ! Des commentateurs estiment dès lors que les psychanalystes français se seraient particulièrement illustrés par leur mépris des psychothérapies.

Ne suivant pas l’exemple d’autres pays où le mouvement de rapprochement a pu s’effectuer entre psychanalyse et psychothérapie, l’influence de l’enseignement de Lacan les aurait conduits à vouer un culte à la parole du maître. Au lieu d’accepter le principe des cures interminables ponctuées par d’inintelligibles interprétations, les psychanalystes français auraient dû, selon ces commentateurs, s’employer à « créer, comme partout dans le monde, des instituts privés » pour former des praticiens de l’analyse « en trois ans » (2).

Il se trouve que nous sommes aussi des lecteurs de Freud et celui-ci n’y allait pas de main morte en expliquant que la psychanalyse se distingue de procédés « tels que la suggestion, la persuasion, qui puisé aux sources de notre ignorance, doivent leurs effets à court terme à l’inertie et à la lâcheté des masses » (3).

Il indiquait encore qu’un phénomène nouveau s’était produit à partir des années trente du siècle dernier. À cette époque, en effet, la diffusion de la psychanalyse avait connu un bond spectaculaire en gagnant toutes les couches de la société. En 1932, Freud mentionnait les résistances suscitées par ce succès de la façon suivante : « Assez vite, la conversation se porte sur la psychanalyse, vous entendez des gens les plus différents donner leur avis, la plupart du temps sur le ton d’une certitude impavide. Ce jugement est, très habituellement méprisant, souvent outrageant, pour le moins railleur » (4).

Ce parti pris ne provenait pas seulement d’une attitude critique héritée des représentants de la science officielle qui l’avait jadis condamnée, elle était issue de la psychanalyse elle-même. Étonnamment, Freud estimait que ce n’était pas la sexualité ou l’inconscient qui choquaient les esprits. Le symbolique, c’est-à-dire le fait que la psychanalyse considère l’incidence du langage sur le corps ainsi que les mécanismes de déplacement et de condensations en jeu dans la constitution des symptômes, suscitait une méconnaissance doublée d’une aversion profonde. Pour Freud, il n’y avait pas de division entre l’usage thérapeutique et les applications diverses issues de la découverte de l’inconscient.

La psychanalyse est Une et ne se laisse pas décomposer.

Un moyen de dénier à la psychanalyse sa place parmi les discours consiste à la définir comme une méthode psychothérapeutique parmi d’autres. Le narcissisme de ses petites différences ne devrait pas lui donner le sentiment d’une quelconque supériorité sur des techniques mieux adaptées aux normes actuelles de rendement et d’utilité ! Des commentateurs estiment dès lors que les psychanalystes français se seraient particulièrement illustrés par leur mépris des psychothérapies. Ne suivant pas l’exemple d’autres pays où le mouvement de rapprochement a pu s’effectuer entre psychanalyse et psychothérapie, l’influence de l’enseignement de Lacan les aurait conduits à vouer un culte à la parole du maître.

Au lieu d’accepter le principe des cures interminables ponctuées par d’inintelligibles interprétations, les psychanalystes français auraient dû, selon ces commentateurs, s’employer à « créer, comme partout dans le monde, des instituts privés » pour former des praticiens de l’analyse « en trois ans ».

Pour le dire autrement, pour être fidèles à Freud et Lacan, il ne convient pas de les imiter, mais d’apprendre d’eux ce que parler veut dire. Jamais semblable à elle-même, toujours surprenante, la psychanalyse d’orientation lacanienne progresse avec son temps. Elle se renouvelle comme le phénix. Elle glisse sous les discours contemporains comme le furet que Lacan désigne comme emblème du désir.

Quiconque croit l’attraper se trouve capturé par le piège des idées reçues, obsolètes et assommantes à souhait. Nous avons choisi la psychanalyse vivante et incarnée. Aucune routine et pas d’ennui, c’est le secret de notre endurance.

Le poète ne disait-il pas que « la parole, c’est l’avenir » (6) ?

 

1 ) Lacan J., « Place, origine et fin de mon enseignement » (1967)

2) Interview de E. Roudinesco au journal Libération, 2020.

3) Freud S., La Question de l’analyse profane

4) Freud S., « Éclaircissements, applications, orientations », Nouvelles conférences d’introduction à la psychanalyse.

5) Miller J.-A., « L’orientation lacanienne. Choses de finesse en psychanalyse », département de psychanalyse de l’université Paris VIII, 2008

6) Bonnefoy Y., La Vérité de parole et autres essais, Folio essais, 1995.

 

Va voir un psy !

Formule entrée dans le discours courant, conseil exprimant la lassitude de celui qui écoute les complaintes, invective témoignant de la colère … Peu importe, cette expression devenue commune, fait florès, souvent accompagnée d’un « fais-toi suivre ».

Tout ça pour dire que « ça ne va pas » ou « ça suffit »

Mais quel psy ? un psychiatre, un psychologue, un psychothérapeute, un psychanalyste, un coach ? Pour dire quoi ? Ce qui ne va pas, ce qui cloche, ce qui se répète ?

Ces dernières années ont vu fleurir quelques 400 sortes de traitements divers et variés, émanant tous des meilleures intentions : le bien d’autrui, même si le service des biens, est souvent, comme l’enfer, pavé de bons sentiments !

A moins que le marché de l’angoisse n’ait encouragé les convoitises …

Traitement par la parole, dit-on, comme si la parole seule pouvait suffire. Traitement par la suggestion pour d’autres, mais on connait les résultats de la méthode Coué. Traitement par le dressage, la pédagogie, le médicament, l’hypnose …

Traitement des couples, de la sexualité, de la turbulence infantile, traitement des troubles qui vont de la peur des araignées à la peur de mourir. Traitement des maux de notre temps : stress, burn-out, dépression, bi-polarité, troubles « dys » de toutes sortes, troubles de l’attention et de l’hyper-activité, etc …

Autant de termes cache-misère car on ne sait plus ce qu’ils recouvrent.

Mais pour quelle guérison ? Celle de la souffrance ou celle du souffrant ? Celle de la plainte ou celle du symptôme ? Imagine-t-on guérir « de la souffrance de l’être et de la douleur d’exister » ?

C’est alors que la pharmacologie se délecte. Elle a le remède contre l’insomnie, l’angoisse, la tristesse, le délire et même l’impuissance. Tout lui est bon. Ses projets sont multiples et pleine de promesses : les laboratoires pharmaceutiques ont réponse à tout. Vive les molécules !

Il faut reconnaitre que notre temps n’a plus le temps …

Nous vivons dans l’urgence et la quête insistante d’un bien-être. La publicité pour le « bien-être » est omniprésente. L’on en fait même des salons ! Il nous faut être soulagés, réconfortés, « augmentés » dans les plus brefs délais, et si une technique s’avère insuffisante, ou n’est plus à la mode, une autre  se propose.

Souvent, c’est lorsque ces approches ont rencontré leur limite que s’entrouvre la porte du psychanalyste.

Car le sujet qui, lui, demeure en souffrance, comment le libérer de ses espoirs toujours déçus, de ses idéaux inatteignables, de ses craintes et autres inhibitions ?

Comment le libérer des standards, des normes qui changent comme des modes ? Comment l’amener à assumer sa singularité envers et contre tous les judicieux conseils et bienveillantes suggestions de la famille, des amis, des collègues ?

Pour la psychanalyse, quand la guérison survient, elle est « de surcroît » nous dit le Docteur Lacan : il devient nécessaire et quelquefois suffisant de « savoir y faire avec son symptôme ».

Didier Potin, psychanalyste

10 2018

Autre(s) activité(s):
Supervisions individuelles
Formation
  • Psychanalyste – Collèges cliniques de l’Ecole de la Cause Freudienne (Marseille puis Avignon)
  • Membre de l’Association des psychanalyste de la Voie Domitienne (Monptellier) affiliée à l’ACF
  • Membre de l’Association “Médecine et psychanalyse dans la Cité” (Clermont-Ferrand)
  • Président de l’Association Loi 1901 “un psychanalyste dans la Cité” (F. Dolto) – Bagnols-sur-Cèze
  • Formation de formateur GRAPE Groupe de recherche et d’action pour l’enfance : Assistantes familiales spécialisées, étudiants d’IRTS, personnels d’établissements sociaux, médico-sociaux, psychiatriques, socio-culturels et judiciaires
  • Titulaire d’un Diplôme inter-universitaire (DIU) Psychanalyse et médecine “Relation médecin-soignant patient : consciente et inconsciente” Université de Clermont-Ferrand 2019-2020
Références d'intervention

Expériences professionnelles

 2009 – en cours

Psychanalyste pour adultes, adolescents et enfants, en libéral

Immeuble Le Camargue – Appt 73 – 2, Place Bertin Boissin 30200 Bagnols sur Cèze

Analyse des pratiques professionnelles

Méthode BALINT, co-counciling, jeux de rôles, psychodrame analytique

  • Chargé de la supervision des différentes équipes éducatives à l’IME « Les Violettes » Bagnols sur Cèze (5 équipes) Trois sections pour enfants et adolescents autistes, une section IMP, une section IMPro – ADAPEI du Gard (30)
  • Chargé de la supervision des équipes éducatives au FAM (Foyer d’accueil médicalisé) de Goudargues (2équipes) ADAPEI du GARD (30) Dans ces 2 institutions, participent à la supervision : les médecins psychiatres et généralistes, les psychologues cliniciens, les personnels médicaux et paramédicaux (médecins, infirmières, kinésithérapeutes, aides-soignantes, éducatifs (éducateurs, moniteurs-éducateurs, animateurs socio-culturels) assistantes sociales, personnels de l’éducation nationale, secrétaires, maîtresses de maison et personnels des services généraux.
  • Chargé de l’analyse des pratiques professionnelles au FDV (Foyer de vie et d’hébergement) de Ventabren (2 équipes) – AVSMT – Pont-St-Esprit (30)
  • Chargé de l’animation d’un groupe de paroles mensuel pour patientes atteints de cancer (LCC – Ligue contre le Cancer du Gard) – Bagnols-s-) Cèze (30)
  • Chargé de l’analyse des pratiques professionnelles pour un groupe de huit accueillantes (psychologues, puéricultrice, jardinière d’enfant, éducateur de jeunes enfants, assistantes maternelles) dans une Maison verte Françoise Dolto à Bourg Saint Andéol (07)
  • Chargé de la supervision d’une équipe de 4 éducateurs prenant en charge un groupe d’enfants et d’adolescents autistes au Groupe de transition de l’IME « L’OLIVIER » – Sorgues (84)
  • Chargé de l’analyse des pratiques professionnelles des membres du Service municipal de la jeunesse de la mairie de Bagnols-sur-Cèze (30)
  • Chargé de l’analyse des pratiques professionnelles de deux équipes de Mandataires judiciaires et du personnel administratif, ayant en charge, sous le contrôle des Juges des Tutelles les mesures de Sauvegarde, Curatelle simple ou renforcées, Tutelle pour des personnes adultes âgées, dépendantes, handicapées, Association mandatée : MAEVAT – Mazan  et Vaison-la-Romaine (84)
  • Chargé d’une supervision de type psychanalytique, et dans un temps et un lieu séparés, des cadres de cette même Association.

1993 – Novembre 2007

Directeur adjoint d’ITEP (Institut thérapeutique, éducatif et pédagogique)

à Nîmes ITEP Le Grézan (Gard) pour 67 adolescents des 2 sexes, de 12 à 20 ans, présentant des troubles de la personnalité et du comportement – 70 salariés Remplaçant permanent du directeur.

1992 – 2010

Expert nommé et agréé par le Préfet de Région PACA, via la DRASS et la DRPJJ, à l’Equipe technique régionale du Creai Paca Corse (Centre régional pour l’enfance et l’adolescence inadaptée Provence Alpes Côte d’Azur et Corse) – 6, rue d’Arcole 13006 – Marseille – ayant eu à traiter 128 dossiers de création, d’extension ou de fermeture d’établissements de Services des secteurs sanitaires, sociaux, médico-sociaux et judiciaires dans les 5 départements de la Région PACA

1975-1980 

Création et animation d’un “lieu de vie et de soin” accueillant des enfants, adolescents et adultes présentant des troubles envahissants de la personnalité en Ardèche avec la collaboration quotidienne d’un médecin psychiatre et psychanalyste

Association Le Granzial – La Surgeyre – Dompnac (07) Agréé au tître de « l’Innovation sociale » par la Direction de l’Action Sociale du Ministère de la Santé et de l’Action Sociale (Mr Ramoff / Jean-Louis Bianco) – Subventionné par la Fondation de France (S. Tsyboula) et par le Ministère devant le refus de la DDASS de l’Ardèche d’agréer la structure comme « Lieux de vie-lieu de soin » ou même comme Famille d’accueil spécialisée ou thérapeutique

1972 – 1990

Formateur de personnels des Services d’accueil familial sociaux, spécialisés, thérapeutiques, et d’étudiants d’IRTS sur l’ensemble du territoire national sous l’égide du  Grape (Groupe de recherche et d’action pour l’enfance) – 8, rue Mayran – 75009 Paris

Ouvrage(s) publié(s)

Editions Erés

Editions du Champ Social

La Lettre du Grape

Hors Série Le Sociographe 1-2005 Approche des Troubles du comportement

Cahiers de l’Aire (Association des Institutrs de rééducation)

Eléments administratifs

Siret : 515 158 640 0026


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