Spécialiste de l’approche systémique, j’interviens en analyse de pratiques, supervision et formation dans la région Occitanie ainsi qu’à Paris.
J’interviens auprès d’établissements médico-sociaux ou de professionnels indépendants.
Je suis formatrice à l’approche systémique de Palo Alto.
J’utilise cette approche pour l’animation des groupes d’analyse de pratique, de supervision et dans le cadre de mes consultations en cabinet.
Je m’attache à transmettre les outils d’analyse sytémique et la vision interactionnelle aux groupes que j’accompagne.
A l’aide des outils offerts par l’approche systémique et dans le cadre des séances d’analyse de pratiques (collectives ou individuelles), je propose aux participants de prendre du recul par rapport à une pratique quotidienne, d’analyser les situations qui leur posent problème d’un point de vue interactionnel, d’échanger sur leurs pratiques d’ouvrir de nouvelles perspectives en matière de compréhension et de stratégies.
La pratique d’une activité professionnelle au contact de publics parfois difficiles (et en difficulté) met le professionnel dans une situation de pression qui peut mener à un stress important.
L’intervenant se trouve souvent « coincé » entre la pression des usagers, les contraintes liées à ses missions et ses propres limites et difficultés personnelles. Il est extrêmement important dans ces conditions de réussir à maintenir une gestion « écologique » de la position de chacun (intervenant, usager, équipes…).
Une forme de sclérose à la fois méthodologique et technique guette parfois les professionnels qui ressentent le besoin de se protéger du stress ressenti. On repère parfois une tendance à se rigidifier, à reproduire des façons de faire, des «trucs». C’est économique et rassurant, du moins pendant un certain temps. On connaît les choses qui marchent, on évite les terrains où l’on est moins à l’aise, on n’est plus stimulé par la diversité. A terme cela appauvrit les pratiques et rend les interactions moins fluides et le professionnel perd en adaptabilité dans un contexte qui devient plus difficile.
Entreprendre une démarche de supervision ou d’analyse de pratique c’est donc accepter d’être interpellé, de remettre la pensée en action, d’abandonner parfois des certitudes encombrantes, d’améliorer la souplesse d’adaptation, d’évoluer.
Spécialiste de l’approche systémique, j’interviens en analyse de pratiques, supervision et formation dans la région Occitanie ainsi qu’à Paris.
J’interviens auprès d’établissements médico-sociaux ou de professionnels indépendants.
Je suis formatrice à l’approche systémique de Palo Alto.
J’utilise cette approche pour l’animation des groupes d’analyse de pratique, de supervision et dans le cadre de mes consultations en cabinet.
Je m’attache à transmettre les outils d’analyse sytémique et la vision interactionnelle aux groupes que j’accompagne.
A l’aide des outils offerts par l’approche systémique et dans le cadre des séances d’analyse de pratiques (collectives ou individuelles), je propose aux participants de prendre du recul par rapport à une pratique quotidienne, d’analyser les situations qui leur posent problème d’un point de vue interactionnel, d’échanger sur leurs pratiques d’ouvrir de nouvelles perspectives en matière de compréhension et de stratégies.
La pratique d’une activité professionnelle au contact de publics parfois difficiles (et en difficulté) met le professionnel dans une situation de pression qui peut mener à un stress important.
L’intervenant se trouve souvent « coincé » entre la pression des usagers, les contraintes liées à ses missions et ses propres limites et difficultés personnelles. Il est extrêmement important dans ces conditions de réussir à maintenir une gestion « écologique » de la position de chacun (intervenant, usager, équipes…).
Une forme de sclérose à la fois méthodologique et technique guette parfois les professionnels qui ressentent le besoin de se protéger du stress ressenti. On repère parfois une tendance à se rigidifier, à reproduire des façons de faire, des «trucs». C’est économique et rassurant, du moins pendant un certain temps. On connaît les choses qui marchent, on évite les terrains où l’on est moins à l’aise, on n’est plus stimulé par la diversité. A terme cela appauvrit les pratiques et rend les interactions moins fluides et le professionnel perd en adaptabilité dans un contexte qui devient plus difficile.
Entreprendre une démarche de supervision ou d’analyse de pratique c’est donc accepter d’être interpellé, de remettre la pensée en action, d’abandonner parfois des certitudes encombrantes, d’améliorer la souplesse d’adaptation, d’évoluer.